#10 L’importance de la maquette
Jusqu’à début janvier, c’était clair dans ma tête : ma correctrice qui avait des notions de Indesign pourrait me faire ma maquette. Et puis une amie s’est lancée en indépendante. Une amie dont le maquettage est le métier depuis presque dix ans. Et là, ça a fait tilt. J’avais investi dans des illustrations magnifiques, dans une correction professionnelle, dans un stock imprimeur pour avoir des finitions dites « luxe ». Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin avec une maquette standard ?
Ni une, ni deux, j’envoie un message. Réponse positive, on cale les délais. Un Nouveau Monde s’ouvre à moi. Les images vectorielles ? Les formats d’impression ? Tous les détails d’une maquette dite de luxe aux finitions prestige ? On peut vraiment faire tout ça ? Je peux vraiment avoir accès à tout ça ?
Et j’ai failli passer à côté ?
Alors certes, une mise en page sous Word suffit pour de l’impression à la demande ou lorsque la mise en page est très simple (chapitres et numéros de page). Mais ici, j’avais des illustrations à insérer, des en-têtes de chapitre, une belle font spécialement créée pour le roman, bref, une base professionnelle. Et je m’en serais voulu de ne pas offrir à ce roman la mise en forme à la hauteur de tout ce qui avait été fait avant.
C’est pour ça que j’ai travaillé avec Justine Robin, qui a créé J.ROBIN AGENCY. Je savais qu’elle pourrait sublimer ce roman. Et le plus important de tout : j’ai confiance en elle et en son travail. Car dans l’autoédition, il est important d’avoir confiance en ses prestataires. Après tout, c’est à eux que l’on confie notre texte.
J.ROBIN AGENCY, ce sont des services de graphisme, d’illustration pour vos couvertures, de maquettage, de booktrailer, mais aussi prochainement de distribution. Et je vous recommande chaudement son travail que vous pourrez admirer sur le site juste ici :
Et vous, aviez-vous conscience de tout le travail que demande une mise en page professionnelle ?